Le vide-grenier de la foire aux châtaignes et bourret de Nogaro est un capharnaà¼m en voie d’expansion qui attirent chaque année encore plus d’amateurs de chinage.
Au fil des ans, la foire aux châtaignes et bourret est devenue un rendez-vous incontournable de l’automne nogarolien.
Fidèle au poste, la lessiveuse à châtaignes du Comité d’Animation de Nogaro est un rendez-vous convivial incontournable.
Chaque année, la foire d’automne organisée par l’Office de Tourisme de Nogaro draine toujours plus d’exposants et de badauds. Samedi dernier, pas moins de 162 étals avaient déployé leurs marchandises dans les rues de Nogaro, tandis qu’une foule toujours plus dense se presse au milieu des échoppes improvisées. Bien plus qu’une grande manifestation commerciale à thème, la foire aux châtaignes et bourret est un espace de rencontre pour l’ensemble des habitants de la région, une parenthèse animée et conviviale qui a bénéficié cette année d’un temps particulièrement propice aux ballades et aux rencontres, chaud et ensoleillé.
Pour accompagner ce succès que ne se dément plus, la municipalité a décidé de changer l’ensemble du système de sonorisation de Nogaro, qui laissait un peu à désirer ces derniers temps, avec des enceintes crachotantes dont le bruit écorchait les oreilles des badauds plus qu’autre chose. Dès cette semaine, tout le système sera remplacé sur toute la longueur de la Rue Nationale et étendu à de nouvelles zones de la ville, comme la place des arènes, la place du marché et la place Jeanne d’Arc. Des micros baladeurs sans fil compléteront le dispositif et offriront de nouvelles possibilités d’animation.
Dans le petit matin frais, il y a toujours foule au stand du bourret, ce jus de raisin pressé quelques jours plus tôt et à peine pétillant, titrant 1 ° d’alcool à peine.
Enfin, toujours dans une optique de diversification des animations de la ville, l’Office de Tourisme de Nogaro a décidé de se lancer dans les manifestations à thème et invite dès dimanche 21 octobre à 17 h, les fondus de musique « Yéyé » qui a bercé les années 60-70, à se rendre à la salle d’animation pour écouter le groupe des « Marauder’s » dans ses œuvres.
Les particuliers sont au coude à coude avec les professionnels à attirer les chalands sur des objets parfois difficiles à dénicher autrement.
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